Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (47) : LInconnu De La Plage
La première semaine de ces vacances 2014 dans ce camping sur locéan avait été bien remplie et marquée par notre rencontre avec Renaud et Ambre. Pour cette seconde semaine, nous en avions assez de la tente, nous nous sommes donc décidés de changer pour un bungalow, plus confortable pour un couple mur.
Renaud mavait pleinement satisfaite, mais je nétais pas fâchée de leur départ car javais peu goûté, cest le moins que lon puisse dire, la proximité entre la jeune Ambre et Philippe, même si cette petite garce mavait à plusieurs reprises bien gouinée.
Je demandais à Philippe de retourner à la plage naturiste.
LE FEU VERT DE PHILIPPE
Je me sentais de plus en plus à laise nue, à tel point que quand nous allions en ville faire des courses ou nous promener, je ne prenais même plus la peine de mettre des sous-vêtements sous mes robes. Sur la plage, il sétait formé autour de moi une petite cour de mateurs et je prenais plaisir à ne rien leur cacher de mon intimité.
Javais repéré sur la plage un homme qui ne cessait de mobserver et létincelle dans son regard était sans aucun doute celle de lenvie. Il était larchétype de lhomme de 50 ans qui cherche à plaire : sportif, bronzé, assez poilu, cheveux poivre et sel, mas-tu vu, bien doté par la nature !
Cet homme dégageait une assurance et une virilité qui ne me laissaient pas indifférente. Il était, bien au contraire, le genre de mâles qui mattire, comme cela sera une nouvelle fois le cas deux ans plus tard sur une autre plage, en Grèce, avec N.
Son instinct avait dû lui faire comprendre que, bien quayant avec moi avec un compagnon ou un mari, je nétais pas du genre farouche et que celui-ci était pour le moins complaisant, sinon complice. La semaine précédente avait dailleurs construit ma réputation sur ce lieu de vacances. A partir de quelques conversations sur la plage, lhomme avait compris que jétais une occasion à ne pas laisser passer.
Je ne prenais plus la peine de mettre mes lunettes de soleil, nos regards se croisaient donc souvent. Et quand on allait se baigner, je prenais toujours soin de passer au plus près de lui
Nous étions encore sur ce lieu de vacances une semaine, il ny avait pas de temps à perdre. Il me voulait, cétait évident et moi aussi jen avais envie. Alors, pourquoi attendre ?
Alors que je jetais des coups dil furtifs à ce gars, Philippe me demanda ouvertement :
Il te plait ?
Oui, jai envie quil me baise. Il ny a pas de mal à se faire plaisir, mon chéri. Nous sommes venus ici pour ça, nest-ce pas ?
Jembrassais Philippe amoureusement :
Tu nes pas contre, mon chéri ? Noublies pas que cest largement à cause de toi que je suis ainsi.
Tu sais bien que je ne te refuse rien, du moment que je sais que ma chérie prend son pied. Tu me promets de ne rien me cacher et déviter tout dérapage ?
Evidemment, je ne connais même pas ce type. Ne tinquiète pas, cest purement sexuel et jai pris la pilule. Jai envie de ce type, voilà tout.
Comme tu y vas. Tu vas me faire cocu et, si jai bien compris, tu vas baiser avec lui sans capote. Si tu me demandes mon consentement, tu sais bien que tu las, mon Olga.
Je sais que ça texcite mon amour. Tu aimes que ta femme soit ainsi.
Cétait le signal que jattendais. Je me suis donc levée pour aller me baigner seule. Le type se leva de sa serviette pour me suivre. Il nagea un peu puis, de façon prévisible, il maborda. Nous discutâmes un moment, je souriais, comme toujours assez à laise dans les contacts avec les gens. Pour un il neutre, cela avait lapparence dune discussion banale entre vacanciers, sauf quà la fin, il me prit dans ses bras pour un long baiser langoureux.
JE MOFFRE A UN INCONNU
Je sortis de leau. Je messuyais, enfilais ma robe, jembrassais tendrement Philippe, avec insistance.
Je retourne à notre bungalow, il va me rejoindre pour me baiser. Tu peux rester sur la plage si tu en as envie. Mais tu peux aussi venir discrètement dici 15 minutes pour mater, mon petit cochon. Tu sais que jadore quand tu mates !
Philippe attendit un instant et se glissa sans bruit entre la haie et la paroi en bois du bungalow. Il y avait un interstice qui lui permettait de ne rien perdre de ce spectacle quil affectionne tant. Nous avions immédiatement repéré cela et compris le profit que nous pourrions en tirer.
Je navais pas perdu de temps en préliminaires. Il ny avait rien de sentimental dans ce que nous allions faire, uniquement un mâle et une femelle qui avaient une folle envie de baiser. Avec Philippe, nous étions convenus que ces vacances étaient faites pour cela, pour compenser des mois de retenue et de frustration, qui sont difficiles à supporter aussi bien pour moi, lépouse hypersexuelle, que pour mon mari candauliste. Jose dire que pour moi cest une vraie souffrance.
Je vais passer maintenant au présent, car, en écrivant ces lignes, je revis ces moments de plaisir
Nous sommes sur le lit, nus. Lhomme est déjà sur moi, jondule sur sa queue en gémissant, complètement excitée. Il me presse vigoureusement les seins. Jaccélère les mouvements de hanches. Je suis déjà en sueur, si désirable comme ça, moite et totalement offerte. Il me prend par la nuque pour me guider vers sa queue.
Je le suce sans aucune retenue.
Je veux autre chose et il le sait : je me couche ensuite en repliant les jambes, hyper ouverte. Je nai pas eu besoin de parler, cest une invitation sans ambiguïté : à lintensité de mon regard, lhomme comprend que je veux quil me baise.
Il ne se fait pas prier, le salaud! En pesant de tout son poids, il senfonce dune traite en moi. Il se met à me pilonner comme un âne, je suis en transe, avançant ma tête vers lui pour quil membrasse en me baisant.
Philippe ne fait aucun bruit, mais mon instinct ne peut me tromper : il est là, en train de nous mater. Cette certitude ne peut que décupler mon envie, je sais combien il aime ça. Je suis face à lendroit où je sais que Philippe peut mater discrètement. Je chevauche la bite de mon amant. Philippe peut voir et cela mexcite à fond.
Philippe ma dit par la suite que cest à ce moment-là quil a joui, sans même se toucher la queue. Et pendant ce temps, je me faisais baiser jusquaux trompes par cette brute !
Le pieu massif du mâle bute tout au fond de moi, abouté au col de lutérus, je ne peux pas en absorber davantage et pourtant ma chatte ne touche pas son pubis.
Je deviens folle, posant mes mains sur sa poitrine et me poignardant comme une morte de faim sur cette colonne de chair.
Je me pince les tétons, jouissant une première fois, continuant à me ramoner le vagin avec sa superbe trique. Jai un orgasme très violent, je ferme les yeux et jouis comme une malade, serrant les dents pour ne pas hurler.
Que tes bonne, que tes bonne ! Ne te retiens pas, vas-y ma belle, couine, gueule ton plaisir, que tout le camping sache que tu te fais sauter comme la putain que tu es !
Oui, salaud, continues, tu me tues ! Comme jaimerais que ça ne sarrête jamais !
Ma chatte sest tellement habituée à son gabarit qu'elle avale désormais sa belle queue épaisse quasiment jusquau bout. Ses magnifiques couilles n'ont pas encore craché leur jus.
Il prend un sein dans chaque main pour les malaxer. Nous sommes restés comme cela durant un moment puis nous avons changé plusieurs fois de positions.
Jétais comme possédée par cette baise. Mon instinct ne mavait pas trompé, le type était un baiseur exceptionnel et particulièrement endurant. Il donnait tout ce quil avait, à tel point que jétais secouée assez sauvagement à cause de la puissance de ses coups de bite.
Mon visage, baigné de sueur, était marqué par le plaisir. Je ne me soucie plus de discrétion. Je menfiche quon sache ce que jétais en train de faire, je me lâche complétement. Mes gémissements de plaisir deviennent des cris, et même des hurlements.
Ca dure encore un bon moment, je lemprisonne entre mes jambes en criant de bonheur. Jempoigne les fesses musclées du type qui, sans faiblir, me pilonne la chatte à grands coups. Soudain il se vide en moi, en renversant la tête vers larrière.
Jétais aux anges, complètement rassasiée de sexe. Et je savais que mon chéri navait rien perdu de la scène.
Philippe rentra dans la chambre
Je le regardais, pour le remercier de me permettre cela. Je me levais et vint me coller à lui tendrement. Il devait sentir ma chaleur, ma peau encore moite, lodeur de la luxure sur moi. Il bandait comme un âne contre mon ventre. Je passais la main dans son short poisseux et lui fis profiter de mes talents de suceuse. En fermant les yeux, il se laissa aller et jouit dans ma bouche.
ENCULEE DANS LES TOILETTES
Le lendemain nous sommes partis tôt à la plage pour en profiter.
Le type était arrivé et comme par hasard, il était installé tout près, en position pour bien me mater. Quand je me suis allongée, la pose prise ne laissa aucun doute sur la suite des événements. Les jambes légèrement repliées et assez ouvertes, je lui montrais ma chatte comme la dernière des salopes
Finalement, un peu plus tard, le type se lève et passe devant nous. Comme une petite garce docile, après un échange de regards complices avec Philippe, je me lève à mon tour, enfile ma petite robe et part dans la même direction.
Philippe nous suit à distance, je marche en me tortillant. Mais au lieu de tourner vers notre bungalow, jentre dans les sanitaires. Sans bruit, Philippe se glisse à lintérieur, à côté de la cabine où je suis avec mon amant.
Je parle à voix basse avec le type. Les cloisons sont fines et ouvertes en haut, je sais que cette fois Philippe ne verra rien mais entendra tout.
Alors petite salope, ten veux encore ? Ma grosse queue ta manqué pas vrai ?
Les mains du type troussent ma robe. Je gémis déjà.
Hhmmm tes toute trempée
Tu as pensé à moi je suis sûr quand ton mari ta baisé hier soir
Oui
Il ta baisé combien de temps avec sa ptite queue ? 5 mn ? 2 mn ?! Tu métonnes que tas le feu au cul. Tinquiètes pas va
Je vais te baiser comme tu le mérites, sale pute et tu vas ten souvenir !
Je suis accroupie, la robe troussée et le cul à lair, en train de pomper cet inconnu.
Vas-y suces là bien
régales toi chérie
Ouiii je sens ta gorge
Tu le veux dans le cul aujourdhui cest ça ? Oui ? Oui jen suis sûr.
Soudain, la cloison bouge, elle se met à bouger de plus en plus, je gémis. Je suis empalée sur lui, soulevée en lair comme une petite poupée dans ses bras musclés. Il souffle comme une bête, on sembrasse.
Baises moi ! Baises moi !
Vas-y. Vires moi cette robe et penches toi, je vais te casser le cul, pétasse !
Il mécarte largement le cul pour faire sortir mon illet. Je me penche, lui présentant mes fesses. Le type ne perd pas beaucoup de temps à me préparer. Il utilise ma mouille et me doigte un bref instant. Il a compris que jai lhabitude de me faire enculée et que je nai pas peur des gros calibres.
Son sexe, dur comme de la pierre, sapproche de mon anus. Jécarte bien mes deux fesses pour me préparer à lintromission. Je halète, comme une femelle en chaleur.
Il pose son gland à lentrée de mon illet et poussa. Le type souffle, je pousse un long râle. Il ma enculé ! Son gland est comme aspiré et je me mets à gémir dune manière dingue. A chaque coup de reins quil donne, je réponds en tendant mes fesses en arrière, jusquà ce quil soit enfoncé dans mes reins jusquà la garde. Parfois il ressort presque entièrement, puis sa hampe disparaît dans ma croupe.
Il sarrête et demande:
Tu aimes ça, on dirait? Tes bonne putain. Ce cul, ce cul !
Oui, narrêtes-pas, sil te plait ! Encore !
Je tremble, tentant de reprendre mon souffle. Je râle à nouveau, encore et encore. Je pousse des petits gémissements. Il me coupe le souffle en butant au maximum en moi. Ca va plus vite, les couilles du type claquent bruyamment contre ma chatte. Il accélère encore, je crie sans retenue !
Il commence un profond mouvement de va-et-vient dans mon cul, quil accéléra bientôt. Il prend mes fesses à pleines mains et les malaxe.Il me pilonne, ça accélère, ses couilles claquent fort, il va jouir mais non, il ralentit et continue à me ravager.
Je pense alors à Philippe, qui était dans la cabine voisine. Se branle-t-il ? Je sais quil na pas besoin de cela pour maccompagner dans mon plaisir.
Je vais jouir, je vais gicler dans ton gros cul magnifique!
Lhomme éjacule dans mon fondement. Je cris de plaisir :
Oui, cest bon ! Je te sens, cest chaud dans mon cul, je jouis, aaaah !
Il me donne une petite claque sur les fesses.
Cest bien, tes une bonne petite pute. Dommage que je parte ce soir et que thabites loin, je me serai bien vidé les couilles de temps en temps avec toi. Ah, un conseil, laves toi bien le cul, sinon ça va lui faire tout drôle à ton ptit mari !
Le type séloigne, sans un baiser, sans un geste de tendresse et sans un mot. Un macho, un rustre, mais cest de cela que javais besoin à ce moment-là. Je ne connaissais même pas prénom de mon amant du jour. Cétait mieux ainsi, car il fallait à tout prix éviter que je ne mattache et, comme lavait dit Philippe, que ça ne dé.
Pour la tendresse, pour lamour sans bornes, jai lhomme de ma vie, Philippe. Il sort de sa cabine. Je suis assise sur les toilettes, je relève la tête et des larmes coulent sur mes joues. Pourquoi ai-je pleuré? De jouissance? De honte? De douleur, car celle-ci se réveille, une fois le plaisir passé ? Peut-être pour toutes ces raisons
Je passe une main entre mes cuisses. Le sperme du type sévacue bruyamment. Philippe membrasse et maide à me relever. Il ramasse ma robe par terre, elle est sale et il maide à lenfiler. Je mapproche des lavabos, me passe de leau sur le visage pour retrouver un peu de dignité et nous sortons silencieusement des sanitaires. Arrivés au bungalow, je vais directement à la chambre et me laisse tomber sur le lit. Philippe me rejoint et je me blottis contre lui. Pour le remercier mais aussi parce que jai honte de mon comportement même si je sais quil mavait donné son feu vert et, en plus, quil aime ça.
Je suis ainsi, je le sais, très compliquée et pleine de contradictions, déchaînée quand je suis « en situation », repentante après lacte, consciente que je ne peux contrôler ma nature. Philippe et moi savons tout cela. Notre amour, cimenté par le candaulisme de mon mari et mon hypersexualité, permet de surmonter ces contradictions et assure la pérennité de notre couple improbable.
(A suivre)
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